Ici, lapproche est évidemment différente puisquelle met au premier plan laccès des patients à autre chose que les médicaments, les perfusions, la ventilation par respirateur. Elle met au premier plan laccès du patient à lévasion par la musique et la poésie, par lart. Et ce dautant que les visites sont, à juste titre pour la sécurité des familles et des patients, interdites ou très limitées. Ne pas pas reconnaitre cette auto-attestation comme valable donnant lieu a des amendes est synonyme de racket jétudie depuis plusieurs années maintenant la théologie. Ce qui Allez-y! Lancez-vous sans réfléchir, je suis sûr que durant votre voyage, certaines japonaises vous raconteront ô combien ils ont aimé leur voyage en France : la tour Eiffel, lOpéra, le mont Saint Michel, la bonne bouffe bien de chez nous, Vous allez rire avec eux et peut-être même finir par aller dans un bar pour trinquer. Je ne plaisante pas, cela mest déjà arrivé en dehors de Tokyo. Ci-contre, un habitant de Kamakura nous racontait ses périples en France, tout un programme! instrument ancien très particulier utilisé à la ferme, avec un tracteur André Maurois, dans la préface des Contes Normands de Jean Gaument et Camille -Pour être plus précis ou trouver des termes plus adaptés Cest ainsi quon veut rejeter, neutraliser son message. On en fait un idéal inaccessible. On le relègue dans le domaine de limpossible. Il est bien plus commode, en effet, dadmirer Krishnamurti démesurément, de le placer sur un piédestal, de le mettre complètement à part de tout le genre humain, que dexaminer sérieusement la possibilité de lui donner raison en se libérant soi-même. En somme, on professe daccepter son message, mais non point la possibilité de sa réussite. Celle-ci, malgré son insistance véhémente, on sobstine à limaginer dans un avenir utopique. Ou bien on tombe dans le travers opposé: sur sa trace, dinnombrables libérés surgissent, qui par leurs affirmations égocentriques ne trompent personne. Le commencement de la sagesse, en cette affaire, est dignorer avec sérénité aussi bien notre propre position par rapport à la libération dont parle Krishnamurti, que la position des autres. Ce nest que lorsquon cesse de se situer, aussi bien par rapport à lui que par rapport aux autres, que lon peut commencer à examiner de sang-froid ce quil dit. Le procès a été reporté pour une question de procédure.
Retrouvez, sur la chaîne Campus du Monde.fr, infos et conseils pratiques sur le bac, lorientation et la vie étudiante Vous massurez donc que le travail est en cours?
Dans la correspondance. Cher Monsieur. Monsieur et cher ami. Lusage élégant, dans la correspondance manuscrite, était de libeller ladresse dune lettre : À Monsieur, Monsieur Untel. On rencontre aussi : À Monsieur le Professeur, Monsieur Untel. Cest lhiver. Froid vif, rues sombres que quelques lampadaires timides éclairent à peine. Je marche sur le trottoir, dun pas rapide, pressée de retrouver mon appartement, sa chaleur. Ceux qui maperçoivent doivent penser que jallonge le pas pour rejoindre un mari, un amant, une famille. Cest peut-être ce que je veux laisser croire. Mais personne ne mattend chez moi, à part quelques plantes vertes. Jallonge le pas car il est tard et les rues sont désertes. Jai limpression dêtre le seul être humain à avoir survécu à une catastrophe nucléaire, la seule femme à oser saventurer dehors, à cette heure tardive. Jallonge le pas car je crains la mauvaise rencontre, celle qui me fera basculer vers autre chose. Je marche vite dans lair glacé, les mains au fond des poches pour faire oublier que je suis une femme : jean clair, parka, grosses chaussures à lacets, cheveux courts, sac de cuir noir en bandoulière. Je marche vite avec limpression quon ne voit que moi, le long de cette route qui nen finit pas. Parfois dans mon dos je perçois le bruit dune voiture en approche. Mes mains se crispent au fond de mes poches, jusquà ce que la voiture arrive à ma hauteur, me dépasse puis séloigne. Lorsquelle nest plus quun point minuscule, mon corps se détend, je desserre les poings et je respire à nouveau, soulagée. Jusquà la suivante. Qui pourrait avoir envie dêtre dehors par un froid pareil et à une heure aussi tardive, même dans lhabitacle dune voiture? Une autre femme, peut-être? Même âge que moi, à première vue. Elle a un mari, des enfants, devenus adultes, et un appartement confortable qui lattend. Mais elle préfère être dehors, seule, au volant de sa voiture, sans savoir vraiment quoi faire ni où aller, elle roule, sans dautre but que de gagner du temps, tout plutôt que de retrouver cet homme indifférent qui partage son lit mais quelle naime plus, cet appartement qui nest plus un refuge mais une prison, sa solitude à deux. Lindifférence, le silence, les photos sur les murs gris qui lui rappellent quelle a été plus belle, plus dynamique, plus entourée, quelle a été aimée et désirée, avant dêtre oubliée, délaissée pour une autre, qui sest immiscée dans le couple quelle formait avec cet homme au fil du temps. Elle sinvite à leur table le midi, sils déjeunent ensemble, laccapare laprès-midi, le soir au dîner, elle gâche toutes leurs soirées, parfois aussi leurs nuits. En cas dinsomnie, il rejoint le salon pour la retrouver jusquà ce que le sommeil le terrasse, la laissant désemparée dans leur lit déserté. Elle le retrouve assoupi dans son fauteuil au petit matin, mais dès quil a repris quelques forces, café, croissants, tartines, il sempresse daller retrouver lautre, aimanté, captivé. Il na dyeux que pour elle et sa multitude de chaines, les doigts agrippés à la télécommande. Si elle essaie de lui parler, de provoquer le dialogue, il reste silencieux ou répond à côté. Elle se demande souvent ce qui fait quils sont encore ensemble. Ils ne sont plus que deux colocataires. Le vide de sa vie la ronge de lintérieur et la détruit, jour après jour. Alors tout plutôt que daller le retrouver, de glisser sa clé dans la serrure, douvrir puis de refermer la porte de lappartement pour affronter son indifférence, de sasseoir à bonne distance de lui, mais de devoir la subir, elle, cette rivale virtuelle qui lui a pris sa place. Alors autant rouler sans but, avaler des kilomètres pour se vider lesprit, assumer cette solitude qui pèse de tout son poids sur ses épaules et lui colle à la peau. Ma solitude aussi plombe mon corps même si je feins dêtre légère et si je marche vite, vers un appartement vide et silencieux, comme cette soirée que je traverse. Curieusement je reste calme lorsque la voiture sarrête à ma hauteur. La vitre côté passager descend lentement pour me révéler un visage familier. Celui de cette femme esseulée, que je croise parfois au hasard de mes courses ou de mes trajets. Je reconnais ses traits un peu mélancolique, ses yeux clairs qui se posent sur moi avec bienveillance mais nespèrent plus grand-chose. Rencontre inattendue, pour elle comme pour moi à une heure aussi avancée. Mes yeux plongent dans les siens, lair froid sengouffre par la vitre ouverte mais elle sen moque, à cet instant précis nous savons que nous avons lune et lautre le pouvoir de changer le cours de cette nuit qui ressemble à mille autres, de reculer le moment où nous refermerons la porte sur notre solitude et notre désarroi. Des mots séchappent de sa bouche, sous la forme dune question. Je peux te déposer quelque part? Je devine son envie de me soustraire à lhostilité de cette nuit glacée. Je lui en suis reconnaissante, même sil est un peu trop pour dire si elle est juste altruiste ou si sa proposition est intéressée. Mais je risque bien moins à accepter plutôt quà rester seule et vulnérable. Mon visage se détend, je desserre les mains au fond de mes poches. Je lui donne mon adresse avant douvrir la portière pour minstaller à côté delle. Je ne suis plus seule. Ma course vers le vide sest momentanément interrompue. Japprécie la chaleur qui règne dans lhabitacle, je me sens heureuse de la bienveillance que cette femme me témoigne et en même temps un peu intimidée. Il fait bon. Je défais lécharpe autour de mon cou. Je la sens troublée, elle peine à redémarrer, émue par ma présence à côté delle sur le siège passager. Je lui demande si elle naura pas à faire un trop grand détour pour rentrer chez elle après mavoir déposée. Elle massure que non, sans quitter la route des yeux, son trouble est perceptible dans son attitude, dans sa voix, je me demande si jai bien fait daccepter sa proposition, après tout je ne sais pas grand-chose delle, je reste un peu sur la défensive, je sens quelle essaie autant quelle le peut de rester concentrée sur la route, peut-être quelle est juste heureuse de cette rencontre providentielle, de ma présence à côté delle, peut-être quelle est simplement soulagée de ne plus être seule et peut-être que cest pareil pour moi. Jessaie de la guider car elle a lair un peu perdu, dans ce quartier où pourtant nous nous sommes croisées souvent. Jessaie de la guider mais elle roule vite, je me demande si elle écoute les indications que je lui donne, elle ne quitte pas la route des yeux mais son esprit a lair ailleurs, est-ce que jai bien fait de monter avec elle, je surveille notre itinéraire, nous ne sommes plus très loin de chez moi, mais elle nentend pas quand je lui dis de prendre à droite, japerçois mon immeuble, pas longtemps car nous nous éloignons très vite, la voiture roule dans le silence de ce début de nuit glacée. Je devrais minquiéter, me dire que peut-être jétais plus en sécurité dehors, avant de la rencontrer, mais je reste silencieuse, le corps légèrement contracté, juste surprise dêtre à bord de cette voiture avec elle et de partager quelque chose qui ressemble à une fuite, ou un début daventure improvisé. Je me dis aussi que la fuite ou laventure, cest toujours mieux que le vide et lennui. Jimagine un instant que nous allons chez elle, quelle veut me garder un peu avec elle pour échanger un peu plus que des banalités. Peut-être moffrir un thé ou un café, minviter à partager un peu de son intimité, pour éloigner sa solitude. Je nous vois hésitant entre la cuisine et le salon, plus cosy. Jimagine que je minstalle dans un fauteuil confortable pendant quelle prépare le thé et me parle depuis la cuisine, comme si nous nous connaissions depuis toujours. Je regarde autour de moi. Le mobilier, les bibelots, les photos sur les murs. Le décor sefface. Nous roulons toujours, vers une destination improbable. Lorsque nous sommes à des kilomètres de mon appartement et du sien et que nous arrivons en vue dune petite épicerie, seule oasis de lumière et de vie dans la banlieue endormie, elle propose de sarrêter pour acheter une bouteille. Première pause au milieu de notre déambulation nocturne. Cest mieux quun thé ou un café. Un vin blanc ou rosé. Très frais. Pour être en accord avec cette soirée dhiver qui nous a réunies. Pour démarrer cette aventure à deux et repousser le moment où chacune de nous devra quitter lautre pour reprendre le cours de sa vie et retrouver sa solitude. Elle se gare au milieu du parking, désert. Quelques pas dans le froid, une porte vitrée à pousser, sur laquelle une pancarte indique : Ouvert à toute heure. Une douce chaleur à nouveau, qui nous enveloppe lune et lautre, et la confrontation avec une autre solitude, masculine, cette fois-ci, taille imposante, épaules carrées, cheveux de jais, celle de lépicier, présent de jour comme de nuit dans sa caverne dAli Baba, et pourtant heureux dêtre là, soucieux de satisfaire une clientèle potentielle mais rare. Il ne nous faut pas longtemps pour choisir la bouteille, un rosé fruité. Lhomme réussit lexploit de nous trouver des verres à vin. La soirée prend une autre dimension. Nous payons la bouteille puis nous lembarquons avec les verres, non sans avoir remercié notre bienfaiteur. Curieusement nous sommes pressées de nous retrouver seules, dans lhabitable de la voiture. Nous sentons que la nuit bascule vers plus de douceur, de convivialité. Notre solitude a décidé de nous laisser tranquilles, elle nous attend dehors bien sagement, dans le froid glacial, elle ne peut rien contre nous tant que nous sommes ensemble. Quelques verres plus tard, je nignore plus rien de sa vie, elle sait tout de la mienne. A lextérieur, lhiver et le froid nont plus demprise sur nous. A larrière de la voiture, la température est montée dun cran, de la buée sest formée sur les vitres, comme un voile rassurant qui nous protège du dehors et nous isole. Je la regarde et je lui parle, je continue de me raconter et en même temps je suis troublée. Par sa beauté, par lespèce de fragilité qui se dégage delle pendant quelle mécoute. Je rougis, je cherche mes mots, mais lalcool nest pas le seul responsable. Jai brusquement trop chaud, je me contorsionne pour enlever ma parka, devenue superflue. Jen profite pour me rapprocher delle. Je nai plus envie de parler. Je la regarde intensément. Jai juste envie de poser mes lèvres sur les siennes. Elle a compris. Je devine que cest ce quelle veut aussi. Nous nous embrassons à pleine bouche, incapable de canaliser ce trop-plein de désir qui sest emparé de nos cerveaux et de nos corps, désinhibés par lalcool. Nos langues se cherchent et font connaissance, dans un ballet troublant et délicieux. Il y a trop de tissu entre nous. Nous nous effeuillons lune lautre, comme si nos vêtements nous brûlaient, impatientes et fébriles de pouvoir enfin nous toucher, nous enlacer. Profiter, saisir lopportunité de cette rencontre, inespérée, inattendue. Renouer avec la sensualité, le plaisir, à larrière de cette voiture, qui devient le terrain de jeu de nos envies. Dans lhostilité de cette nuit improbable et moins froide quil ny parait. Je magenouille face à elle. Nous nen finissons pas de nous embrasser, de nous caresser, de nous doigter avec une impudeur et une détermination assumées. Profiter pleinement et abusivement lune de lautre, sur la banquette arrière. Moi à quatre pattes au-dessus delle, puis elle au-dessus de moi. Le sex-toy qui navait jamais quitté son sac sinvite à la fête, substitut masculin qui nous distille ses vibrations et nous électrise, lune après lautre. Nous essayons tout, nous osons tout, joyeuses et inventives, impudiques, émerveillées par toute la palette des plaisirs et des sensations possibles et par la facilité quont nos corps à communiquer. Elle me lape, me lèche, plonge et replonge avec délice dans la moiteur de mon sexe et je lui rends la pareille, avec une infinie gratitude. Nous sortons même de la voiture pour nous installer à lavant. Elle assise sur le siège conducteur, moi à califourchon sur ses cuisses, les reins plaqués contre le volant, le sex-toy enfoncé en moi, profondément, mes doigts qui se faufilent entre ses cuisses et qui la sondent. Sa langue qui lèche mes seins, à la hauteur de sa bouche, qui sattarde sur la moindre parcelle de peau, à portée de ses lèvres. Sa main qui actionne la télécommande de lobjet. Mon corps qui se contracte contre ses cuisses, qui se déhanche comme il peut, coincé entre son buste et le volant, mes doigts toujours en elle, nos gémissements qui se mêlent, nos lèvres qui se cherchent et se rejoignent, nos bouches qui se scellent pour un ultime baiser avant que le plaisir nous électrise et nous emporte loin. La sensualité prend le pas sur linconfort. Nous restons soudées un temps indéfini, nous navons envie ni lune ni lautre de rompre lalchimie de notre rapprochement, ses cuisses et mon sexe trempés de notre jouissance à toutes les deux. Lobjet me remplit toujours. Je me sens vivante. Javais oublié à quel point cétait bon de donner du plaisir et den recevoir. Je nous trouve belles, enlacées et collées lune à lautre, dans cet espace restreint. Au milieu de la nuit, au milieu de lhiver. Je ferme les yeux. Je me recroqueville contre elle. Je nai plus envie de penser, ni de bouger. Mais au bout dun moment je frissonne. Je voudrais passer le reste de la nuit nue, allongée contre elle, sur le siège arrière, mais il fait trop froid dans lhabitacle. Nous nous rhabillons à regret. Au loin, au-dessus des arbres, une enseigne clignote : HOTEL. Nous ne sommes pas plus en état de conduire que de marcher mais notre envie de rester ensemble est la plus forte, et lhôtel nest pas si loin. Alors nous marchons dans le froid glacé jusquà ce havre providentiel. La chambre est spacieuse et confortable. Nous nous déshabillons sans un mot avant de nous glisser dans les draps parfumés. Nous avons encore envie lune de lautre mais la fatigue est la plus forte. Je sombre dans un sommeil réparateur. Jémerge la première. Peu à peu je reprends conscience de ce qui mentoure. La chambre, le lit. Son corps à elle collé au mien, profondément endormi. Je reste un long moment immobile, dans la douceur des draps, envisager de reprendre le cours de ma vie pour le moment est au-dessus de mes forces. Jai perdu lhabitude de boire autant. Je finis par me décider à tenter quelque chose et à bouger. Tendre la main jusquau téléphone. Appeler la réception. Pour prolonger la réservation de la chambre jusquau lendemain. Maccorder une journée supplémentaire avec elle. Je sais que cest possible, quand nous sommes arrivées, le jeune homme qui nous a accueillies nous a dit que lhôtel était presque vide. Jai retrouvé un peu de sérénité, une fois le téléphone raccroché. Je retourne mallonger près delle. Je ferme les yeux pour que le sommeil prenne à nouveau possession de moi et manesthésie. Il est tard lorsque je reprends conscience. Elle est assise de son côté du lit, les cheveux mouillés. Elle sort de la douche, sa pudeur retrouvée drapée dans un drap de bain immaculé. Elle me sourit, me demande comment je me sens. Je lui rends son sourire, sans savoir vraiment quelle réponse lui donner. Des flash de notre nuit torride parasitent mon cerveau, jai mal au crâne, la bouche sèche et en même temps jai le sentiment que ce que nous venons de partager est un tremplin vers autre chose, sans parvenir à définir quoi. Dans la neutralité bienveillante de la chambre, nous complétons le récit de nos vies. Elle finit par me confier quelle a écrit une lettre à cet homme qui partage sa vie, un jour, pour lui dire son désarroi, son envie de fuir leur quotidien devenu fade. Elle sort lenveloppe de son sac, ajoute quelle na jamais osé la laisser bien en vue sur la table de leur cuisine avant de se décider à prendre le large vers une autre vie, plus constructive. Mais à présent elle sent quelle en a le désir et lopportunité. En même temps, elle veut quil sache pourquoi elle sen va. Je propose de jouer les messagères. Je récupère lenveloppe. Le destinataire de la lettre se prénomme Marc. Au verso elle a inscrit son prénom : Betty. Je lui demande ce quelle compte faire de sa vie. Elle me répond quelle ne sait pas encore, quil faut juste quelle séloigne de lui pour se retrouver elle. Dès que nous aurons quitté cet hôtel, sans réfléchir plus longtemps. Elle a de la famille dans le sud qui pourra lhéberger. Elle a envie de nouveaux horizons, de perspectives, de liberté. Ensuite peut-être, elle reviendra. Vérifier si le désir quelle a deviné dans le regard de lépicier était réel. Je souris, lui dit que moi aussi jai remarqué quelque chose lorsque nous avons acheté la bouteille. Son visage séclaire. Quelques minutes plus tard, elle me rejoint nue, sous la douche. Pour assouvir une dernière fois lenvie quelle a de moi. Moi aussi jai envie delle. Ensuite nous nous rhabillons sans un mot avant de récupérer nos affaires et de quitter la chambre. Elle me dépose à quelques mètres de lentrée de mon immeuble. Nous nous souhaitons bonne chance, avant de nous éloigner définitivement lune de lautre. Faudra faire attention dorénavant quant on insulte les gens, même en virtuel! car la le décret est adopté a lassemblée.. Dictionnaire universel françois et latin, contenant la signification et la.. 2020, Lyonmag. Droits de reproduction réservés— Une réalisation Le Snoezelen peut à contrario être un catalyseur du lien auprès des usagers et favoriser un regard plus authentique. Il peut dans certains cas modifier leurs idées et points de vue, voire dans certains cas faire évoluer leurs attitudes.
Categories: